L'auto-édition des livres de Chellous: l'université ne serait-elle qu'une façade pour un organisme commercial ou pire, une machine à blanchir de l'argent sale, une organisation lucrative abusant de la naïveté des étudiants? Le SEC n'est-il pas une agence éditoriale au service de Chellous le pestiféré, sous l'hostilité affichée du service dans son entier envers l'auteur? Telles sont les questions que tu te poses ô petit étudiant rampant, toi que nous avons adopté malgré la médiocrité de ton dossier, que nous avons soutenu contre la réticence justifiée des professeurs, arguant de ta motivation, de ton absence de mauvais esprit? Ta suspicion relative à nos sources de financement m'afflige bien qu'en ces temps d'affaires sordides aux plus hauts niveaux de l'état, je conçoive que la confiance ne soit plus de mise. N'étant pas payée pour m'effondrer à la première difficulté, je vais m'employer à te rassurer. Voyons les questions: Les livres de Chellous en auto-édition sont-ils une source de revenus conséquents? Une affaire juteuse? Prenons les choses une par une. D'abord le fric: quantité et destination. L'enthousiasme bruyant des étudiants (que de clameurs émerveillées!) font croire à une multitude. Ne nous leurrons pas: l'USDMHD n'est pas de ces institutions chinoises où se bousculent les étudiants par dizaines de milliers. La totalité de notre effectif ne permettra jamais de faire vivre un éditeur quand bien même chaque étudiant achetait une dizaine d'exemplaires de chacun des ouvrages de notre collègue Chellous. Le prix du livre a été calculé pour approcher d'un bénéfice nul, lequel ne pouvant être atteint pour cause des conditions posées par l'imprimeur (lulu.com), tourne pour chaque ouvrage dans une zone inférieure à 1 euro. Cette somme (qui au 1er mai 2014 équivaut à quelques euros virtuels et ne pourra être versée avant un seuil de 20 euros) sera répartie entre Chellous et le SEC dont les frais de fonctionnement excèdent largement les rentrées: les inscriptions sont gratuites, nous équipons gracieusement les étudiants boursiers en stylos, compas, règle à calculer [contactez-moi pour toute demande de bourse ou prêt de livre] et les subventions alpines européennes ne sont pas débloquées. Bref, il faudra des dizaines de milliers de livres pour assainir notre comptabilité. A suivre... Les
gangsters de l'e-commerce profitent-ils du succès d'Alain
Chellous?
Question subsidiaire: comment se fait-il qu'un des ouvrages de
Chellous (Ruine pour ne pas le nommer) annoncés bon marché sur nos
pages soit en vente sur ebay
(4 mai 2014) au prix double de celui
de lulu.com qui produit le livre:
24,95 euros au lieu des 12 euros annoncés (réduits actuellement à 9,60
euros!). L'ouvrage annoncé par ce vendeur officiant sur ebay (un
bienfaiteur amoureux de
littérature, pour sûr) serait un livre d'occasion, datant de l'édition
actuelle (mars 2012). Cette assertion impliquerait au sein de notre
lectorat la présence d'un habile
financier.Nos hypothèses: après avoir obtenu ce livre en cadeau ou l'ayant payé chez lulu (cas rarissime), notre lecteur aurait voulu rentabiliser son effort de lecture en le confiant (vendant?) au revendeur d'ebay sans se douter que celui-ci viserait si haut. Autre hypothèse: le revendeur d'ebay ne vendrait-il pas des livres qu'il n'a pas, attendant d'avoir ferré son poisson pour les commander au producteur, afin, sans avoir pris de risque, de maximiser un bénéfice? Dans ce dernier cas, il est à craindre pour lui que la confidentialité extrême de l'ouvrage ne le prive des revenus mirifiques qu'il en attend. Quoiqu'il en soit de ces phénomènes étranges, que Dieu vous protège: n'achetez pas à ce gangster:! Si vous tenez à disposer de cet ouvrage controversé, mieux vaut commander chez lulu.com (mot clef "Chellous" et "titre de l'ouvrage") ou (encore mieux?) nous contacter pour une version PDF gratuite! Bref, ouvrez l'oeil et le bon! N.
Arrity
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