* Les premières machines à Evaporer furent conçues par des tribus capables de produire du feu par frottement de pierres de silex (méthode archaïque) ou  grattement d'allumettes ou briquet (méthode évoluée). La technique du métal fondu dans des cuves grossières marqua un seuil évolutif majeur dans la préhistoire Haut-Dauphinoise, avec production en série de piolets rudimentaires durant quelques millénaires, avant que des chasseurs intrépides es améliorent par l'adjonction de dentelures imitant les dents du lion des neiges et permettant l'accroche des pentes gelées (ce qui prolongeait la survie). Il y a un consensus au sein de la communauté archéologue pour considérer la fabrication de la machine à évaporer comme étant le premier acte moderne, ouvrant une ère où les loisirs et les longues veillées au coin du feu remplaçaient les chasses nocturnes. Ces réunions autour des machines à évaporer permirent les premiers échanges universitaires en offrant aux premiers intellectuels des aphrodisiaques psychotoniques consommables en refuge, avantage évolutif remarquable aux bénéficiaires qui, requinqués comme cycliste après la gorgée de pot belge, galopaient dans les voies TD en sandalettes et pagnes en peau de chamois (sans points d'aide).

** Cette poterie traditionnelle, ancêtre de notre berthe à lait aux temps d'avant l'usage du couvercle, servait de récipient à Génépi. Ces pots annoncés incassables par les potiers d'alpage (dont la génétique peu mutative transmettait inconditionnellement le gène du mensonge et de la malhonnêteté) étaient en réalité fragiles: le modèle présenté ici (exposé au Musée de l'USDMHD) découvert en un seul morceau au pied de l'éboulis nord-est de la Grande Aiguille de la Bérarde est l'exception qui confirme la règle.