Nos observateurs formés à l'obervation automatique discrète, ont détecté cet été quelques anomalies suspectes.
La certification exigée par nos tutelles, pour obtenir les agréments et autorisations nécessaire à l'ouverture des portes centrales de l'université, nouz impose de faire un diagnostic préalable à la rentrée, qui est contrôlé par le Conseil Qualité de l'université, qui rend compte au Département de la Censure, lequel fait un rapport sous 48 heures à destination du Conseil Scientifique pour avis avant d'être soumis à la présidente de l'université et aux vice-président-e-s, qui votent à l'unanimité l'accord pour transmission aux autorités de tutelle déjà citées.

La charte de transparence et de lumière qui participe ou contribue à l'aura de notre institution vénérable oblige à transmettre à nos professeurs titulaires et à une  diffusion publique en ligne (ici), le corps du travail effectué, afin que chacun prenne connaissance des problèmes repérés et de l'état de la correction de ces problèmes.

Autant prévenir tout de suite, que la question épidémique n'est pas traitée ici, elle fait l'objet d'un rapport séparé qui sera publié ultérieurement. (aucune date ne peut être avancée hélas)

Un mélèze suffirait. Et pourtant. Répétition inutile.
L'enquête indique que le responsable de l'arboriculture végétalisante en Dauphiné a mal lu le bon de commande et planté trois exemplaires de l'arbre.
Ceci dans un premier temps, puisque pris d'amnésie un peu plus tard, il en a planté un quatrième.
Ce gaspillage et le coût excessif de l'opération, multipliée par le nombre d'arbres en Dauphiné donne une idée du coût engendré et des conséquences pour le budget de l'USDMHD qui avait du faire un emprunt pour permettre l'opération d'arborisation de tout le Haut Dauphiné.
Une plainte a été déposé contre l'opérateur responsable de manière et nous espérons récupérer les milliers d'euros (centaines de millier en fait) déjà engagé dans la première phase

Un pilier de ce calcaire parfaitement pourri (bas de gamme  low cost) mais, le responsable de l'installation des piliers rocheux a mal lu le bon de commande.
Il a intallé ces trois piliers inutiles, puis, saisi d'amnésie, croyant n'avoir pas exécuté sa tâche mais lisant cette fois-ci correctement la commande, il a ajouté un quatrième pilier quand il croyait installé l'unique pilier qu'on lui demandait. Quant on sait que le coût d'un pilier équivaut à une dizaine de milliers d'arbre au minimum avec de la roche de type gravat récupérer sur des chantiers de centrale nucléaires, on comprendra le problème pour boucler sans déficit le budget de l'USDMDH qui est très limité comme vous savez, pour la bonne raison de notre intégrité, unique dans le monde universitaire, et qui fait notre renommée, sinon notre succès.
Plainte a été déposée contre le responsable de la pose de pililer (section calcaires pourris) et nous espérons récupérer les sommes déjà engagées.

Si la tenue les comportements des intervenants et étudiants à  l'université (et de même ceux des animaux qui parcourent nos massifs et contribuent largement à sa réputation et conséquemment à celle de nos unités de biologie animale) ont toujours fait l'objet de la plus grande tolérance, du fait de priorités autrement justifiées (activités dangereuses en plein air, conflits et débats vitaux et musclés entre les participants, conditions extrêmes obligeant à prioriser la cible justifiant l'épuisement de son énergie, etc..), il n'est pas possible pour autant d'oublier à ce point les traditions.

 Notre équipe de contrôle a noté une audace déplacée dans la mode:
A- coupes de cheveux des marmottes qui, pour être modernes, indiquent une anthropomorphie déplacée. Il a été décidé de mettre au terrier durant une quarantaine, le temps que les cheveux repoussent ces rebelles siffleurs, avec une visite de contrôle en septembre.

L'absence d'autres anomalies et les garanties données par nos avocats quant à l'issue des procédures en justice, nous permet de conclure non seulement à un bouclage du budget dans un délai inférieur à 5 ans et donc à la pérennité de nos enseignements et recherches, et d'aute part, la finesse des investigations du service de contrôle-correction-certifications permet de garantir qu'aucune anomalie autre ne puisse subister
En conséquence, ce rapport a été transmis aux instances réglementaires et in fine a obtenu un avis favorable de la présidente Noëlle Arrity, pour transmission aux autorités de tutelle dont nous attendont, en cette fin du mois d'août, la validation et l'accord pour effectuer la certification par certificateur assermenté.