Microbassines
Microbassine du Chardonnet
On distingue nettement la déléguée régionale de la FNSEA, protégé par un gendarme de haute montagne (dont on ne voit que l'ombre, malheureusement)
Une des plus importante Microbassines du secteur.
On distingue nettement sur la droite plus haut, de vastes étendues cultivables très probablement, avec un peu de terre importée de Beauce ajoutée
Notre garde du corps facétieux, montre ici son matériel de surveillance, de manière dissuasive envers des écoterroristes possibles
On voit bien une deuxième Microbassine qui n'a pas grand chose à envier à la première, et les zones cultivables autour.
Ces Microbassines ont l'avantage immernse d'être compatible avec un tourisme aquatique
La vivacité du blé qu'on voit en premier plan est ce bonne augure pour toute production céréalière
Les chemins déjà existants permettront le transport de matériel pour construire des serres efficaces et bien isolées, ainsi que les lignes électriques ou les moteurs diesel pour produire la chaleur nécessaire (groupe électrogènes à prioriser)
Certain critiques nous font remarquer que c'est la même Microbassine, et que nous n'avons pas tant de possibilités que ça. Il faudra leur expliquer que nous n'essayons de tromper personne, mais au contraire, qu'il s'agit d'étudier très en détail la faisabilité de notre projet et donc de présenter plusieurs points de vue d'une même Microbassine
Comme ici
Ou là!
Merci pour votre attention!
Complément
Microbassines
Danse
Guerre
Evolution des glaciers de 2018 à 2022 (actualisation à prévoir)
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Microbassine du Chardonnet
On distingue nettement la déléguée régionale de la FNSEA, protégé par un gendarme de haute montagne (dont on ne voit que l'ombre, malheureusement)
Le travail exposé sur
cette page a été réalisé par l'unité de prospective et futurologie,
avec la participation de deux étudiants de Master 0.. Ils ont analysé
les besoins alimentaires des Haut-Dauphinois, et proposent une solution
aux questions alimentaires critiques sur notre massif bien aimé. La
commande faite par la préfecture, résulte de la faillite programmée des
restos du coeur et la nécessité de prévenir une disette en ces temps de
réchauffement climatique dont nul ne connaît encore l'origine.
Ce phénomène naturel produit un déficit hydrique chronique qui pourrait impacter les productions céréalières locales, déjà peu abondantes, d'autant que les paysans locaux privilégient encore trop souvent la petite exploitation de fromage de chèvre ou du lait de brebis, ou même parfois, le commerce de baies, comme si l'autochtone était condamné à revenir au stade du chasseur-cueilleur. Comme le disent nos vieux sages ici, qui conduisent de puissants 4 X 4 achetés grâce à la spéculation immobilière en Briançonnais (la station de Serre Chevalier est un bon investissement): "Chasseurs d'accord, mais cueilleurs, c'est quand même la honte!"
Le résultat de ce travail est la présentation d'une solution innovante présentée ci-dessous: il apparaît nécessaire de développer une filière de production intensive de Maïs dans ces zones encore libres d'exploitation, à condition d'une irrigation importante l'été, qui pourra facilement être produite par des Microbassines, adaptées au relief. En effet, le modèle de Mégabassines, adapté au relief de plaines et aux vastes surfaces qu'il faut réserver aux quelques agriculteurs industriels vendant leur maîs à l'export et aptes à gérer de gros portefeuilles, qui ont une expérience d'exploitation gigantesque et de ponction efficace des aides de l'état et de l'Europe, ainsi qu'un pratique boursière professionnelle, bref, la Mégabassine fait ses preuves d'innovation et d'excellence pour l'industrie agroalimentaire performante dont le chef d'entreprise cotise à la FNSEA. Mais ce modèle doit être modifié ici, les replats étant limités pour permettre de telles réserves..
Il n'est pas question, soyez sans crainte, de se laisser limiter par des contraintes naturelles, et nous garantissons une protection des futures zones à construire (ZAC), où pourront être réalisés les projets immobilier de haut standing des nouvelles stations de ski et de leurs nouvelles pistes sur tous versants, à condition que les contraintes et règles environnementales soient allégées pour permettre un véritable et digne développement de l'économie; ce que nos élus nous ont promis, en validant le slogan "l'environnement, ça commence à bien faire!
Ainsi, nous multiplierons des Microbassines, qui stockeront l'eau durant l'hiver (ou la neige) et seront réservés aux plus audacieux.
Voici nos premières réalisations, montrant après un premier été, le résultat: elles ne sont même pas vides, succès total. Il est vrai que les zones de culture de Maïs n'ont pas encore été bulldozerisées, ni ensemencées, mais ça ne saurait tarder, il faut le faire avant l'hiver.
Nous devinons à vos airs dubitatifs vos questions inquiètes: comment le maîs supportera-t-il l'hiver? Evidemment, ce détail a nécessité une réflexion approfondie avant d'aboutir aujourd'hui à un projet réaliste et solide: la mise en place de serres chauffées qui permettront même avec des températures négatives prolongées, de faire pousser le maïs à toute saison.
Ce phénomène naturel produit un déficit hydrique chronique qui pourrait impacter les productions céréalières locales, déjà peu abondantes, d'autant que les paysans locaux privilégient encore trop souvent la petite exploitation de fromage de chèvre ou du lait de brebis, ou même parfois, le commerce de baies, comme si l'autochtone était condamné à revenir au stade du chasseur-cueilleur. Comme le disent nos vieux sages ici, qui conduisent de puissants 4 X 4 achetés grâce à la spéculation immobilière en Briançonnais (la station de Serre Chevalier est un bon investissement): "Chasseurs d'accord, mais cueilleurs, c'est quand même la honte!"
Le résultat de ce travail est la présentation d'une solution innovante présentée ci-dessous: il apparaît nécessaire de développer une filière de production intensive de Maïs dans ces zones encore libres d'exploitation, à condition d'une irrigation importante l'été, qui pourra facilement être produite par des Microbassines, adaptées au relief. En effet, le modèle de Mégabassines, adapté au relief de plaines et aux vastes surfaces qu'il faut réserver aux quelques agriculteurs industriels vendant leur maîs à l'export et aptes à gérer de gros portefeuilles, qui ont une expérience d'exploitation gigantesque et de ponction efficace des aides de l'état et de l'Europe, ainsi qu'un pratique boursière professionnelle, bref, la Mégabassine fait ses preuves d'innovation et d'excellence pour l'industrie agroalimentaire performante dont le chef d'entreprise cotise à la FNSEA. Mais ce modèle doit être modifié ici, les replats étant limités pour permettre de telles réserves..
Il n'est pas question, soyez sans crainte, de se laisser limiter par des contraintes naturelles, et nous garantissons une protection des futures zones à construire (ZAC), où pourront être réalisés les projets immobilier de haut standing des nouvelles stations de ski et de leurs nouvelles pistes sur tous versants, à condition que les contraintes et règles environnementales soient allégées pour permettre un véritable et digne développement de l'économie; ce que nos élus nous ont promis, en validant le slogan "l'environnement, ça commence à bien faire!
Ainsi, nous multiplierons des Microbassines, qui stockeront l'eau durant l'hiver (ou la neige) et seront réservés aux plus audacieux.
Voici nos premières réalisations, montrant après un premier été, le résultat: elles ne sont même pas vides, succès total. Il est vrai que les zones de culture de Maïs n'ont pas encore été bulldozerisées, ni ensemencées, mais ça ne saurait tarder, il faut le faire avant l'hiver.
Nous devinons à vos airs dubitatifs vos questions inquiètes: comment le maîs supportera-t-il l'hiver? Evidemment, ce détail a nécessité une réflexion approfondie avant d'aboutir aujourd'hui à un projet réaliste et solide: la mise en place de serres chauffées qui permettront même avec des températures négatives prolongées, de faire pousser le maïs à toute saison.
Une des plus importante Microbassines du secteur.
On distingue nettement sur la droite plus haut, de vastes étendues cultivables très probablement, avec un peu de terre importée de Beauce ajoutée
Notre garde du corps facétieux, montre ici son matériel de surveillance, de manière dissuasive envers des écoterroristes possibles
On voit bien une deuxième Microbassine qui n'a pas grand chose à envier à la première, et les zones cultivables autour.
Ces Microbassines ont l'avantage immernse d'être compatible avec un tourisme aquatique
La vivacité du blé qu'on voit en premier plan est ce bonne augure pour toute production céréalière
Les chemins déjà existants permettront le transport de matériel pour construire des serres efficaces et bien isolées, ainsi que les lignes électriques ou les moteurs diesel pour produire la chaleur nécessaire (groupe électrogènes à prioriser)
Certain critiques nous font remarquer que c'est la même Microbassine, et que nous n'avons pas tant de possibilités que ça. Il faudra leur expliquer que nous n'essayons de tromper personne, mais au contraire, qu'il s'agit d'étudier très en détail la faisabilité de notre projet et donc de présenter plusieurs points de vue d'une même Microbassine
Comme ici
Ou là!
Merci pour votre attention!
Complément
Microbassines
Danse
Guerre
Evolution des glaciers de 2018 à 2022 (actualisation à prévoir)
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