Département d'Archéo-histoire - Section "Moeurs étranges des civilisations éteintes"
La fête du ski
Rituels d'exorcisme - Sorcellerie au XXIème siècle après JC
Cérémonie du solstice d'hiver - Danses, processions mécanisées, accoutrements alpins.
avant la grande extinction - Tribu dauphino-oisive (Vercors - France)
Mémoire de Master 2 de Gérard Nick-Pelit
Documentation
Sources externes à l'USDMHD: webcam de la stations de GEV
DOC 1: Esthétique du Monticule
La construction de monticules éphèmères par les tribus primitives était généralisée dans les espaces montagnards au XXIème siècle, avant la grande extinction.
Ces productions artisanales symboliques relèvent de la "Suractivité de l'inutile" qui caractérisa cette période où l'Homo Sapiens Apocalypticus perdit le sens de la vie et des liens au Monde. Les tribus accablées de désespoir, incapables d'affronter ou de comprendre la nature ou la source de leur propre agitation, réagissaient à ces émotions collectives par une suragitation, multipliant les créations auto-destructrices, dans un climat "festif triste", où furent détruites les ressources vitales à moyen terme, tandis que se multiplièrent les conflits sanglants aux confins des régions alpines.
Edifier ces monticules blanchâtres et froid à partir d'H2O nécessitait une technologie rudimentaire énergivore, associant (1) un captage de ces molécules aqueuses précieuses (dans ces territoires limitrophes des zones arides au Sud de l'Europe, et malgré l'altitude minimisant l'évaporation), (et 2) un transport souterrain de la ressource liquide pour dispersion aéroportée grâce à des "canons" (selon la terminologie masculino-guerrière en vogue à l'époque) en périodes de froid, qui produisaient la matière glissante pour l'activité exorcisante (SKI). L'énergie était fournie par un système complexe de production et transport (à partir de gaz, nucléaire, charbon et autres) nécessitant de grosses ressources mécaniques et humaines), ce qui contribua inévitablement à l'épuisement des ressources et aux dégâts qui produisirent la disparition de ces tribus
Doc 2: Danse et rituels de Homo Oisivo-Mechanikus- Alpes du Dauphiné
XXIème siècle après JC
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La fête du ski
Rituels d'exorcisme - Sorcellerie au XXIème siècle après JC
Cérémonie du solstice d'hiver - Danses, processions mécanisées, accoutrements alpins.
avant la grande extinction - Tribu dauphino-oisive (Vercors - France)
Mémoire de Master 2 de Gérard Nick-Pelit
Documentation
Sources externes à l'USDMHD: webcam de la stations de GEV
DOC 1: Esthétique du Monticule
La construction de monticules éphèmères par les tribus primitives était généralisée dans les espaces montagnards au XXIème siècle, avant la grande extinction.
Ces productions artisanales symboliques relèvent de la "Suractivité de l'inutile" qui caractérisa cette période où l'Homo Sapiens Apocalypticus perdit le sens de la vie et des liens au Monde. Les tribus accablées de désespoir, incapables d'affronter ou de comprendre la nature ou la source de leur propre agitation, réagissaient à ces émotions collectives par une suragitation, multipliant les créations auto-destructrices, dans un climat "festif triste", où furent détruites les ressources vitales à moyen terme, tandis que se multiplièrent les conflits sanglants aux confins des régions alpines.
Edifier ces monticules blanchâtres et froid à partir d'H2O nécessitait une technologie rudimentaire énergivore, associant (1) un captage de ces molécules aqueuses précieuses (dans ces territoires limitrophes des zones arides au Sud de l'Europe, et malgré l'altitude minimisant l'évaporation), (et 2) un transport souterrain de la ressource liquide pour dispersion aéroportée grâce à des "canons" (selon la terminologie masculino-guerrière en vogue à l'époque) en périodes de froid, qui produisaient la matière glissante pour l'activité exorcisante (SKI). L'énergie était fournie par un système complexe de production et transport (à partir de gaz, nucléaire, charbon et autres) nécessitant de grosses ressources mécaniques et humaines), ce qui contribua inévitablement à l'épuisement des ressources et aux dégâts qui produisirent la disparition de ces tribus
Doc 2: Danse et rituels de Homo Oisivo-Mechanikus- Alpes du Dauphiné
XXIème siècle après JC
Ce document exceptionnel
permet de voir simultanément deux cérémonies longtemps considéréers
comme antagonistes. Celle de gauche montre le geste chorégraphique de
sujets destinés au sacrifice rituel, nommés "skieurs",
disposés sur une surface, fabriquée à partir de monticules détruits
quelques jours avant et restée glissante avant de retrouver sa texture
aqueuse originale. Au risque d'être trempés ou noyés, ces "skieurs"
devaient relaxer leurs adducteurs aux membres inférieurs pour simuler
le geste du V à l'envers, signifiant la défaite (ou l'ouverture d'un
gouffre) et ceci à plusieurs, ce qui indiquait au sacrificateur qu'ils
acceptaient le sort qui les attendait. Le rituel devait protéger la
tribu, la perte des sacrifiés garantissant la mansuétude des puissances
divines et la survie collective. Ce rituel devint de plus en plus
grotesque au fur et à mesure des déconvenues de l'apocalypse annoncée
d'abord par la réduction des surfaces glissantes puis par
l'augmentation exponentielle de sacrifiés pour un résultat nul. Cette
dégradation du rituel fut probablement à la source du deuxième rituel
(à droite), où la chorégraphie dégénéra, mutée en procession sans but
ni objectif, sinon la mise en scène d'une débandade générale
collective, où l'ensemble des participants à la cérémonie, se
dispersaient avec des tenues encombrantes et portant des objets
inutiles et impraticables (les SKIS), dans les plaines alentours, sans
espoir de pouvoir utiliser leur CB. Observer les deux rituels dans le
même espace temps est stupéfiant, comme si l'archéologue assistait dans
le même temps à l'âge de pierre et à l'âge nucléaire (dans sa
phase pré-apocalyptique)
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